Depuis mon enfance
j’ai toujours été fascinée par
le patinage artistique
un univers où l’amour de soi
et l’élégance intérieure s’exprimaient
avec une beauté instinctive.
Sa beauté me captivait d’une
manière pure et instinctive.
Mais lorsque j’ai commencé à
défiler sur scène en tant que mannequin
mon regard sur cette discipline
a profondément changé.
Cette fascination pour le patinage
artistique s’enracinait déjà dans
une quête d’amour de soi et
d’élégance intérieure, une quête
que je n’ai pleinement comprise
que plus tard, sur les podiums.
Pour exprimer une telle
grâce, une maîtrise technique
est indispensable.
Et pour atteindre cette
maîtrise, des efforts colossaux
et silencieux sont requis.
C’est dans cette profondeur
authentique que j’ai entrevu
la vraie beauté.
Et j’ai commencé à aspirer à
ce même éclat, à la fin de mon
adolescence.
En tant que mannequin
ma taille était considérablement
inférieure à celle de mes consœurs.
Ce fut longtemps un handicap
et un complexe.
Sur scène, l’impact visuel
était nettement en faveur des
silhouettes plus grandes.
J’ai alors compris que la seule
chose qui pouvait surpasser
la taille, c’était l’aura.
Ainsi, j’ai entrepris une
recherche autonome, rigoureuse
sur l’art de rayonner.
Cette quête a duré plus de treize ans.
Et parmi mes sources
d’apprentissage les plus
précieuses se trouvait le
patinage artistique.
L’axe corporel inébranlable –
c’est l’expression du masculin
sacré, la force noble et silencieuse.
La tension élégamment contrôlée
jusqu’au bout des doigts
le rythme gracieux du mouvement
voilà la féminité profonde
l’élégance incarnée.
Quand ces deux énergies
opposées fusionnent dans
un même geste, une aura naît.
C’est cette aura qui
donne une présence.
J’ai répété cette alchimie encore
et encore, sur le podium
et je l’ai prouvé par l’expérience.
Cette transformation ne repose
pas uniquement sur la technique
mais aussi sur une profonde connexion
à soi-même — à cet amour de soi
et cette élégance intérieure qui
se cultivent patiemment de l’intérieur
vers l’extérieur.
Aujourd’hui, ce trésor de vie
je le transmets sans réserve
à mes clientes.
L’un de ses vecteurs est
la marche en talons hauts
comme art de vivre et esprit
d’élégance.
Ma méthode ASAMI-PARIS
repose sur une marche d’une
précision extrême.
Le haut du corps ne se balance
ni d’un côté ni de l’autre
il reste ancré, stable, centré.
Il ne s’agit pas de s’appuyer
sur des forces extérieures
pour stabiliser son axe.
Il ne s’agit pas de chercher
l’équilibre par le mouvement.
Au contraire, tout repose sur
la force intérieure
sur l’indépendance absolue
du corps immobile.
Pour le dire plus simplement
la beauté n’est pas le fruit
d’une validation extérieure.
Elle naît au contraire de
la libération totale du regard
de l’autre, de la fin des
comparaisons, du retour vers
une confiance absolue en soi.
Tant que l’on attend
d’être validé par quelqu’un
on nie inconsciemment
sa propre valeur.
Et tant que l’on se compare
on creuse un vide intérieur
qui ne cessera de grandir.
Être belle, ce n’est pas
pour plaire aux autres.
C’est une déclaration d’amour
que l’on fait à soi-même.
Ce n’est qu’après, parfois
que vient la reconnaissance
des autres.
Mais ce n’est jamais l’objectif.
Car à partir du moment où vous
vous comparez, vous vous éloignez
du bonheur.
Même la tenue la plus magnifique
semblera fade si elle est portée
dans la comparaison.
Ce que je transmets à travers
la méthode ASAMI-PARIS
c’est une reconnexion à votre
axe intérieur.
C’est à travers cet axe que
se révèlent naturellement l’amour
de soi et l’élégance intérieure
authentiques et sans artifices
ni comparaisons.
C’est un rappel profond de
la perfection naturelle
qui a toujours été en vous.
Beaucoup pensent qu’ils ne
sont pas « assez ».
Alors ils apprennent
collectionnent, accumulent…
Mais pour retrouver la beauté
originelle, la puissance sacrée
la majesté authentique
il faut retrancher et non additionner.
Ne cherchez pas à bouger
pour masquer une soi-disant
imperfection.
La vraie beauté se trouve dans
l’immobilité maîtrisée.
Dans le silence du geste.
Contact
asamiparis.fr@gmail.com